Patrick Poivre d’Arvor qui dès 2005 était auditionné par la police dans les locaux de TF1 qui raconte depuis des années que "personne ne savait rien".
Nicolas Bedos, enfin un condamné mais dont tout le gratin prend la défense, en dénonçant notamment une justice trop sévère...
Gérard Depardieu qui est "malade" et ne peut donc pas assister à son procès.
Tout comme le mari de Gisèle Pélicot dans le procès de Mazan...
Autant d’exemples de la culture du viol à la française, de la banalité du mal, du caractère systémique,
quotidien des violences faîtes aux femmes. Autant de confirmations que statistiquement le violeur n’est pas forcément un étranger sous OQTF mais plus souvent le conjoint, le voisin, le cousin, le collègue de bureau...
Autant d’exemples de la remise en cause de la parole des victimes, à grand coup de présomptions d’innocence et autres
saloperies : réécriture de l’Histoire, inversion des rapports de domination, victimisation des coupables... Même quand il y a
des témoignages et des victimes à la pelle.
Le dernier exemple à vomir c’est Gisèle Pélicot, droguée par son mari, violée par plus de 80 hommes alors qu’elle était
inconsciente, à qui on ose demander si "elle ne serait quand même pas un peu exhibitionniste"...
Comme par hasard dans tous ces cas la droite et l’extrême droite sont muettes, quand elles ne défendent pas carrément les
agresseurs. Ce qui les intéresse ce ne sont pas les victimes, ce ne sont pas les violences et leur nature mais le statut administratif