Il y a un an, le procès de Mazan nous faisait l’impitoyable démonstration de la culture du viol, de la banalité du mal, du caractère systémique, quotidien des violences faîtes aux femmes. On ne peut plus ignorer que le violeur n’est pas un monstre mais bien un homme ordinaire, un ami, un frère, un conjoint, un collègue ...
C’est avec colère et stupéfaction que nous avons appris cette semaine que le Maire RN d’Hénin-Beaumont, Steeve Briois demandait finalement la révocation pure et simple de notre camarade Djelloul Khéris représentant du personnel et secrétaire de la section SUD Collectivités Territoriales Hénin-Beaumont.
Son excuse, l’apparition de Djelloul dans le teaser du documentaire « les nimbes au monde » sur la lutte de l’association culturelle l’Escapade que Briois a expulsé de son lieu d’hébergement il y a un an. Les deux affaires sont intimement liées et le piège s’est refermé sur Djelloul. Après avoir expulsé l’Escapade, Steve Briois veut virer notre camarade !
Depuis plus de 10 ans, notre section SUD CT à la mairie d’Hénin Beaumont livre un rude combat face à la municipalité RN. Face à nos camarades, Steeve BRIOIS, le maire et ami de M. LE PEN, multiplie les actes violents : pressions et attaques nominatives dans la revue municipale, courriers adressés aux agent·es, propos insultants et diffamatoires visant parfois les familles. Sur les réseaux sociaux, S. BRIOIS est allé jusqu’à qualifier publiquement des camarades de « cloportes » lors des manifestations du 1er mai.
Ce mouvement s’inscrit dans le légitime combat contre les réformes menées par votre gouvernement concernant l’ensemble de la Fonction Publique. Ces réformes sont des attaques contre un service public de qualité et égalitaire, elles affaiblissent la démocratie de proximité, l’égalité de traitement de tou·te·s les citoyen·ne·s et ainsi portent atteinte aux conditions de travail et d’emploi des agent-es.
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Le recul symbolique sur la réforme des retraites est un rideau de fumée pour masquer l’essentiel. Avec cet os à ronger, le gouvernement et Macron tentent d’imposer leur projet : des budgets d’austérité pour l’État et la Sécurité Sociale, pour maintenir les privilèges des plus riches, la course folle aux profits et la guerre.
Macron refuse toujours d’admettre que la grande majorité de la population est opposée à ses régressions, comme les dernières mobilisations et élections l’ont mis en évidence.
Ce mouvement s’inscrit dans le légitime combat contre les réformes menées par votre gouvernement concernant l’ensemble de la Fonction Publique. Ces réformes sont des attaques contre un service public de qualité et égalitaire, elles affaiblissent la démocratie de proximité, l’égalité de traitement de tou·te·s les citoyen·ne·s et ainsi portent atteinte aux conditions de travail et d’emploi des agent-es.
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Lecornu n’a même pas encore formé son gouvernement qu’il essaye de gagner du temps et de nous embrouiller. Ce n’est pas en renonçant à supprimer deux jours fériés et en promettant la fin des privilèges pour les anciens ministres qu’il va s’en sortir. Ce sont des mesurettes, de l’enfumage !
Nos ainé.es et leur famille ne sont là que pour payer :
Privé 3500 euros
Public hospitalier 2600 euros
Public territorial 2000 euros
La mobilisation de ce 10 septembre est un formidable élan populaire, soutenu par près de 70% de la population, qui a envoyé un message très clair à MACRON et à son nouveau toutou, LECORNU...
Vous venez d’être nommé premier ministre et allez consulter pour former un gouvernement.
Serez‐vous le premier (ministre) à nommer enfin un.e ministre de l’enfance de plein exercice, ce qui n’a jamais été fait et par conséquent la cause de l’enfance est demeurée jusqu’ici un nain politique alors qu’elle engage l’avenir du pays ?
Serez‐vous le premier (ministre) à prendre les mesures concrètes et générales pour rétablir la qualité des modes d’accueil ?
Les manifestations ont réuni, dans le calme pour la plupart, plus de 250 000 personnes ce 10 septembre. Jeunes et moins jeunes, travailleurs et travailleuses, privé.es d’emploi... se sont retrouvé.es en masse dans la mobilisation et dans l’action.
Alors qu’il joue la dramatisation à outrance - parlant de chaos à tout-va - et se lamente dans les médias de droite et d’extrême droite pour dire qu’il est prêt à négocier, notamment sur les deux jours fériés, Bayrou s’apprête à signer 3 décrets assassins qui veulent imposer un doublement de tous les restes à charge.
Quel que soit le sort réservé à Bayrou le 8, il n’y a qu’un seul moyen de mettre fin à la politique de Macron qui rend impossible notre vie quotidienne, détruit nos conditions de travail et démonte nos services publics...
Cette décision est particulièrement intéressante car elle comble un vide juridique qui a sans doute généré beaucoup d’injustices pour les agent.es dont le reclassement a échoué après la période de préparation au reclassement et qui se sont retrouvé.e.s en disponibilité d’office pour raison de santé jusqu’à leur mise à la retraite pour invalidité.
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Bayrou a confirmé ce que l’on savait déjà. Un gouvernement au service des patrons ne peut que mener une politique au service des patrons. Ce projet de budget est un transfert de fonds des poches des travailleurs-euses à celles des (...)
Derrière l’acronyme savant Périclès (Patriotes, Enracinés, Résistants, Identitaires, Chrétiens, Libéraux, Européens, Souverainistes), se cache une offensive d’ampleur menée par Pierre-Édouard Stérin, milliardaire ultraconservateur, (...)
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L’accueil des enfants à besoins spécifiques ne cesse de croître dans les structures d’accueil de la petite enfance. Même si aucune loi n’oblige les collectivités à mettre en place des solutions d’accompagnement à l’ inclusion, il leur (...)
La fédération SUD CT, réunie en conseil fédéral, ces 12 et 13 juin, apporte son entier soutien à Dalila, Brahim, Mohamed, Yann et Gael, camarades postier⸱ères ou ex-postier⸱ères du 92, comme à l’ensemble des travailleuses et (...)